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Cari de thon aubergine et gambas

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Cari de thon aubergine et gambas

Cari de thon aubergine et gambas

Ingrédients :

1,5 kg de thon

2 aubergines

2 tomates

200 g de gambas

1 gros piment vert (ou rouge)

2 gousses d’ail1 morceau de gingembre

2 brins de coriandre

Quelques feuilles de cari poulet

1 petite c à café de cumin

Une pincée anis vert et de poivre en grain

2/12 de poudre de curry

Huile d'olive

sel

Préparation :

  • Laver et couper le thon.
  • Éponger avec du papier absorbant.
  • Saler et poivrer.
  • Hacher les tomates et les oignons.
  • Écraser le gingembre, l’ail et l’anis vert
  • Couper les aubergines en quartiers.
  • Dans une poêle avec un peu d'huile d'olive.
  • Faire cuire le thon 5 mn de chaque côté.
  • Enlever et réserver.
  • Faire de même avec les aubergines.
  • Saler poivrer et réserver.
  • Dans un bol, délayer les épices ainsi que le curry dans un petit peu d'eau.
  • Dans une marmite, mettre un peu d'huile d'olive.
  • Faire revenir le piment et l'oignon.
  • Ajouter les tomates hachées et le cari de poulet.
  • Laisser mijoter 5 minutes et ajouter les épices délayées avec le curry.
  • Mettre un verre d'eau.
  • Saler légèrement.
  • Mettre le thon dans cette sauce.
  • Ajouter un peu d'eau de temps en temps car le curry épaissit vite.
  • Ajouter les aubergines.
  • -Couvrir et laisser mijoter à petit feu.
  • Une fois que les aubergines sont prêtes, arroser de coriandre et d'une cuillerée de vinaigre (facultatif).

Servez bien chaud avec du riz et un peu d'achard de mangue.

Alain Brecqueville

Rêver Madagascar


Tsingy de Bemaraha: Parmi les 10 merveilles naturelles d’Afrique

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Tsingy de Bemaraha: Parmi les 10 merveilles naturelles d’Afrique

Mardi, 06 Janvier 2015

Le Tsingy de Bemaraha est l’un des sites touristiques les plus visités par les touristes dans la Grande Ile. De plus, selon nos sources, le secteur touristique a connu une réussite l’année précédente. Selon les statistiques, près de 160 000 touristes ont été enregistrés au total, qui ont visité les 14 sites les plus fréquentés, à savoir Isalo, Andasibe-Mantadia, Nosy Tanikely, Ranomafana, Tsingy de Bemaraha, Ankarafantsika, .. ;

Mais selon le sondage effectue par le magazine « Oeil d’Afrique », le Tsingy de Bemaraha figure à l’heure actuelle parmi les 10 merveilles naturelles d’Afrique. Rappelons ce parc est déjà classé patrimoine mondial, Il a été déclaré site du patrimoine mondial de l’Unesco en 1990.

Tsingy de Bemaraha: Parmi les 10 merveilles naturelles d’Afrique

Il se situe dans le district d’Antsalova et dans la région du centre ouest de Madagascar ; cette réserve naturelle a une superficie de 152 000 ha. Elle offre une grande diversité des structures géomorphologiques. Il s’agit d’une véritable cathédrale de calcaires dévoilant l’un des paysages naturels les plus spectaculaires de la Grande île et même du monde. Dans sa partie orientale, la forêt est entrecoupée de savanes.

Le Tsingy de Bemaraha est considéré comme un centre d’endémisme de par sa richesse aussi bien en espèces faunistiques qu’en espèces floristiques. A part des roches calcaires, le parc abrite également des forêts denses sèches. De plus, ce site contient des flores spécifiques dont 86% des 650 espèces végétales inventoriées qui sont endémiques. A part cela, il abrite des animaux dont 13 espèces de lémuriens endémiques parmi lesquels 3 diurnes et 10 nocturnes à savoir, Sifaka (Propithecus verreauxi deckeni), Gidro (Eulemur fulvus rufus), Aye-Aye (Daubentonia madagascariensis), Tilitilivahy (Microcebus murinus) ...

Le parc dispose également de 94 espèces d’oiseaux terrestres et aquatiques dont l'aigle pêcheur de Madagascar, l'Ankoay qui est endémique à la partie Ouest de Madagascar. Il abrite aussi 15 espèces de chauve-souris, 22 espèces d'amphibiens et 66 espèces de reptiles (les Seseke, les Ramiheloka, reptiles caractéristiques de l'Antsigy faisant partie des cibles de conservation du Parc) et des mammifères endémiques comme le Mangouste (Galidia elegans occidentalis) et les rats géants (Nesomys lambertoni).

Faut-il rappeler que les étrangers sont composés essentiellement de Français, d’Allemands et d’Anglais, et sinon 10% des visiteurs annuels sont des malgaches ?

R.Volatsara

La Gazette

Intempéries: Encore de la pluie dans les jours à venir

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Intempéries: Encore de la pluie dans les jours à venir

Mardi, 06 Janvier 2015

« A cause du flux de mousson convergent avec les Alizés de Sud-Est au sein d'une vaste zone perturbée, dans le canal du Mozambique, la pluie est encore au rendez-vous dans plusieurs régions de la Grande Ile », a affirmé Omega Raharimalala, du service météorologique. Plus précisément, les pluies seront abondantes dans les régions Boeny, Melaky et Sofia. D’ailleurs ces zones, plus précisément les côtes Sud-Ouest de la Grande île, sont en état d’alerte rouge. Autrement dit, le cyclone menace à brève échéance la localité. Ce qui signifie que les forts coups de vents, les pluies diluviennes et la marée de tempête seront présents et constituent un danger pour la population. Par contre pour Antananarivo, les pluies ne seront présentes que l’après midi si une masse nuageuse marque la matinée.

Face à l’abondance des pluies ces derniers jours, l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo ou Apipa effectue comme à l’accoutumée ses suivis pour surveiller la montée des eaux. Selon le bulletin hydrologique de la plaine d’Antananarivo, il n’y a pas d’alerte de menace de danger dans la plaine d’Antananarivo.

R.V.

La Gazette

Safari Baleine à Fort-Dauphin

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Safari Baleine à Fort-Dauphin

Publié par : APOI 6 janvier 2015

L’Office Régional du Tourisme de Fort-Dauphin, en étroite collaboration avec CETAMADA (association ayant pour objectif la protection des mammifères marins et de leur habitat par l’étude et la sensibilisation), l’Aquatique Service grâce au soutien financier de Rio Tinto QMM, organise désormais une activité qui propose des sorties en mer conciliant l’observation des baleines et une prise de conscience sur la préservation de ces mammifères marins (tourisme responsable).

Safari Baleine à Fort-Dauphin

A Fort-Dauphin, les baleines sont observables deux fois dans l’année : de juillet à août (passage des baleines en direction vers le Nord de la grande île) et d’octobre à fin novembre.

Les guides et les quelques opérateurs touristiques qui ont suivi les formations ont été certifiés et agrées par CETAMADA.

Pour son lancement, ce produit touristique est en premier lieu vendu en package incluant la location de bateau et son personnel ainsi que les honoraires de l’éco-guide.

Un safari dauphin est également proposé toute l’année.

Cette nouvelle activité participe également au tourisme communautaire : les recettes seront reversées pour l’éducation environnementale, les campagnes de sensibilisation, l’appui aux communautés des pêcheurs…

Renseignements

Office Régional du Tourisme de Fort Dauphin

Tél. : (261 33) 80 872 62

fortdauphin.ort@gmail.com

Huile de ricin : Madagascar exporte 10 tonnes en une année

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Huile de ricin : Madagascar exporte 10 tonnes en une année

Jeudi, 08 Janvier 2015

Des milliers de paysans dans la région Androy travaillent dans la filière oléagineux. En fait, cette filière est favorisée dans la région par les conditions environnementales. C’est ainsi que la société Phileol a développé la filière depuis 2008. Non seulement, la filière est valorisée mais les paysans ont pu améliorer leur vie quotidienne. Selon les informations recueillies, plus de 95% de la population y vit avec moins de 1$ par jour, c’est à dire moins de 2000 ariary. L’activité économique repose essentiellement sur l’agriculture vivrière et et est donc très vulnérable aux aléas climatiques. La production agricole et les opportunités économiques limitées des ménages ne leur permettent pas de subvenir à leurs besoins alimentaires.

Grâce à la mise en place de cette entreprise 6 000 paysans ont pu sécuriser et diversifier leurs revenus. De plus , PhileoL développe des partenariats avec d’autres acteurs de développement afin de renforcer leurs capacités techniques et organisationnelles. Aussi, la PhileoL il a un impact positif sur l’environnement de par la culture des oléagineux, dont le système radiculaire contribue à la refertilisation des sols et à la lutte contre l’érosion. D’ailleurs d’ici 2016, PhileoL a pour objectif de devenir l’acteur principal de la filière oléagineuse malgache tout en permettant à près de 6 000 paysans de multiplier leur revenu par 5 et de renforcer leur rôle dans la filière.

Pour atténuer la pauvreté, la société aide les paysans à produire des graines de ricin et de jatropha, graines particulièrement adaptées aux régions arides. Les paysans sont ainsi assurés d’un revenu régulier. Ils sont accompagnés par Phileol et ses partenaires afin d’améliorer la qualité et la quantité produites, en s’organisant en groupements et ainsi pour mieux maîtriser leur développement économique. Elle a également fait le pari de monter une usine moderne d’extraction et de production d’huile dans cette région désolée. Ce faisant, elle contribue au renforcement économique de la zone, en créant de la valeur ajoutée à partir de la production locale et en redynamisant les infrastructures locales, notamment le port d’Ehoala (Fort-Dauphin). De nouveaux investissements ont été effectués en 2013 afin d’améliorer la qualité de l’huile. Alors que l’huile étant très demandée sur le marché européen, Madagascar n’arrive même pas à satisfaire les demandes selon les informations. En 2013, 10 tonnes d’huile selement ont été vendues et exportées.

Faut-il préciser que la société joue un rôle notable dans la filière oléagineux malgache et saisit l’opportunité d’un marché en plein essor, celui des huiles vertes, utilisées par l’industrie pour minimiser son impact sur l’environnement ?

R.Volatsara

La Gazette

Catastrophe – Le quartier de Besarety se transforme en étang géant

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Catastrophe – Le quartier de Besarety se transforme en étang géant

08.01.2015

Catastrophe – Le quartier de Besarety se transforme en étang géant

La portion de rue de Besarety, d’une longueur de cinq cent mètres est devenu un véritable étang en quelques minutes, hier après midi. Les habitants crient au scandale devant cette situation.

Vous n’en avez pas assez de prendre des photos Cette montée des eaux est le quotidien des habitants durant la saison estivale depuis des dizaines d’années, a lancé Henriette Ramaro­manana, une mère de famille à Besarety hier. Farasoa Julienne Ranarisoa, une autre mère de famille, sur le point de récupérer ses enfants à l’école vers 16h, a toutefois crié au scandale face à cette situation chaotique.

« Rapportez aux responsables étatiques qu’ils jouent au cinéma dans notre quartier. Les projets successifs de haute intensité de main d’œuvre (HIMO) n’apportent, que de la misère dans notre quartier. Les volontaires qui travaillent dans ce projet jettent les ordures récupérées dans les autres canaux d’évacuation d’eaux, en espérant qu’un autre projet sera entamé», a-t-elle avancé.

D’autres usagers de la route pointent du doigt les constructions sauvages autour des canaux d’évacuation d’eaux. « L’eau a monté d’un mètre en trente minutes aujourd’hui (hier). Il a fallu pourtant une heure de pluie l’année dernière pour avoir un tel niveau d’eau. Les constructions sauvages obstruent de plus en plus les canaux d’évacuation d’eau », a indiqué Flavien Rasamima­nana, chauffeur de taxi-be de la coopérative Tselatra, bloqué devant la montée des eaux.

Mais il n’y a pas que l’eau qui a posé de problèmes aux riverains de ce quartier hier. « Les eaux usées charrient toutes sortes de déchets. En plus de sachets plastique, j’ai aperçu un amas de déchets humains, flottant devant la porte d’une maison », a décrit une dame en quittant une charrette qui venait de la sauver, pour traverser la portion de rue. Cette montée des eaux ne fait ainsi que des victimes. Les tireurs de charrettes se sont frottés les mains, hier.

Ainsi il faut payer Ar 300 pour rejoindre le quartier d’Ambodimanga-Besarety. Chaque charrette transporte au moins six personnes. « Nous avons fait quatre voyages en une heure. C’est une bénédiction en ce début d’année où le travail se fait rare », a indiqué Tina Ramangason, tireur de charrette. Personne n’a toutefois osé faire appel à ces « employés saisonniers » pour se faire porter à dos d’homme.

Vonjy Radasimalala

Exportation du raphia: Une menace pour les artisans malagasy

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Exportation du raphia: Une menace pour les artisans malagasy

Vendredi, 09 Janvier 2015

90% des raphias bruts sont exportés, dont la plupart en Europe, en Asie et en Amérique. Et les restes 10% qui sont en général des produits de deuxième qualité et de mauvais état sont destinés aux artisans malagasy. De plus, face à la rareté des matières premières disponibles, les prix sont en hausse car les demandes sont nombreuses. Actuellement, le kilo du raphia est environ de 3000 ariary contre 800 ariary auparavant. Pire, l’inaccessibilité des lieux de production à cause des pluies entraine de plus la hausse du prix.

Face à cette situation, les artisans nécessitent des soutiens des autorités pour les aider dans la gestion de la culture du raphia ainsi que les exportations massives du raphia. Faut-il rappeler que cette matière est très utilisée dans la filière artisanat.

A cet effet, les artisans malagasy se sentent menacés face à l’exportation massive du raphia. Autrement dit, l’exportation massive du raphia brut constitue un danger pour le secteur artisanat. Pourtant, le secteur artisanat doit être considérable car il contribue à 15% du produit intérieur brut (PIB) du pays. Ce qui signifie que les autorités concernées doivent trouver des solutions durables pour le développement de la filière et surtout des populations qui en dépendent pour vivre. Sans oublier également que le raphia est le produit d’exportation qui engendre le plus de valeur ajoutée, et constitue une source non négligeable de rentrée de devises pour le pays, notamment au niveau des régions productrices.

Notons que le Nord de la Grande île est le grand ravitailleur du raphia à 75% de la production mondiale, et 44% du besoin local. A titre d’information, la culture de raphia s’étend sur une surface de 50.000 Ha répartie dans toute l’île et qui produit près de 3.000 à 4.000 tonnes par an dont 1.700 tonnes proviennent de la région de Majahanga et d’Antsiranana, quelques 1.100 tonnes venant de Fianarantsoa et Toliara, 400 tonnes de Toamasina et 200 tonnes pour Antananarivo.

Sachant que le raphia est une fibre provenant des feuilles d’un palmier appelé « raphia ruffia » ou « raphia farinifera », de la famille des arécacées qui poussent dans les zones marécageuses de la moitié Nord de Madagascar.

R.Volatsara

La Gazette

Soamagnova: Le pont fait souffrir

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Soamagnova: Le pont fait souffrir

Vendredi, 09 Janvier 2015

Comme à chaque saison de pluie le pont de Soamagnova qui relie Vangaindrano à la partie nord du district est victime de la montée des eaux. Il faut reconnaitre que ce pont d’une trentaine de mètres fabriqué en bois n’a plus fait l’objet de réhabilitation depuis des lustres et de ce fait son état se détériore d’année en année. Conséquences : ralentissement de la circulation et augmentation des coûts de déplacement. En effet, le frais d’une personne empruntant le taxi brousse faisant la liaison entre Vangaindrano et la commune rurale d’Iara en temps ordinaire est de 10 000 ariary, actuellement le coût passe à 12 000 ariary sinon plus. La traversée d’une moto coûte 3 000 ariary par pirogue et pour un véhicule c’est 30 000 ariary, les camions sont interdits de passage car le risque de tomber à l’eau est très grand. En période sèche, la traversée peut se faire sous le pont mais vu la montée des eaux, c’est chose impossible à l’heure actuelle. C’est pour cette raison que les usagers de ce pont demandent au gouvernant actuel de trouver une solution car ils souffrent réellement. La difficile utilisation du pont engendre un surcoût sur l’achat des PPN, ne facilite pas l’évacuation sanitaire et fait augmenter le tarif du transport. Or on sait que dans la capitale les transporteurs bénéficient d’une subvention, une aide que tous les transporteurs du pays veulent avoir à leur tour aussi.

Morasata Marc

La Gazette


Cari de langouste avec sauce au curcuma et dés de légumes

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Cari de langouste avec sauce au curcuma et dés de légumes

Cari de langouste avec sauce au curcuma et dés de légumes

Ingrédients :

2 langoustes (de 700 g)

1 piment

1 petit ananas mûr

1 petite courgette

1 petite aubergine

1 poivron rouge

1 tomate

1 c. à soupe d’huile

Le jus d’un demi-citron

50 cl de lait de coco

1 c. à café de curcuma

1 c. à soupe de sauce de poisson

Préparation :

  • Taillez l’aubergine et la courgette en petits dés.
  • Ebouillantez, pelez et épépinez la tomate, coupez la chair en dés.
  • Lavez, épépinez et émincez finement le poivron.
  • Faites revenir les légumes (sauf la tomate) avec un peu d’huile dans une poêle.
  • Ajoutez un peu d’eau et laissez mijoter quelques instants.
  • Versez le lait de coco, la sauce de poisson et le curcuma, salez et poivrez.
  • Ajoutez la tomate et gardez au chaud à feu doux.
  • Faites cuire les langoustes avec le piment 15 minutes dans l’eau salée.
  • Laissez refroidir dans l’eau de cuisson.
  • Egouttez.
  • Retirez la queue de langouste en tournant délicatement.
  • Appuyez fermement sur la carapace avec la paume de la main pour qu’elle s’ouvre, ou découpez-la à l’aide de ciseaux. (Posez la langouste sur le dos et découpez la carapace sur les côtés par le côté le plus souple).
  • Décortiquez la queue et coupez-la en deux dans la longueur, puis en tranches régulières.
  • Décortiquez les pinces et coupez-les en morceaux. (Réservez-les pour une utilisation ultérieure).
  • Pelez l’ananas et coupez-le en tranches fines.
  • Faites-les dorer légèrement dans une poêle antiadhésive.
  • Répartissez la sauce aux légumes sur deux plats (gardez-en un peu de côté).
  • Disposez la queue de langouste en alternant avec les tranches d’ananas sur les légumes.
  • Décorez avec les têtes de langouste et de feuilles d’ananas et arrosez d’un peu de sauce.

Servez avec du riz blanc et du pain de campagne.

Alain Brecqueville

Rêver Madagascar

Concours de cuisine – L’équipe malgache s’envole pour la France

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Concours de cuisine – L’équipe malgache s’envole pour la France

09.01.2015

La crème de la haute gastronomie malgache se mesurera aux meilleurs du monde. Il s’agit des chefs Lalaina Ravelomanana, Stéphanie Andriamampandry et Rocco Andriamiarisatrana. Ils représenteront Madagascar au concours international de traiteurs ou International catering cup, qui se tiendra en France les 23 et 24 janvier. L’équipe est partie, hier soir, pour rejoindre la capitale française et la ville de Nîmes, dans le Sud, où ils poursuivront encore leur entraînement pour une dizaine de jours.

«Nous avons travaillé durant trois mois pour préparer ce concours. Nous avons travaillé les quatre thèmes sur lesquels seront basés ce concours dont le canard, la truite, la viande de porc, le chocolat et les fruits », a déclaré le chef Lalaina Ravelomanana lorsque lui et son équipe ont reçu les billets du voyage des mains de Frederic Burban, directeur générale de la compagnie Air France, hier.

Une douzaine de pays participeront à cet Interna­tional catering cup, et ce sera la première fois que la Grande île y sera représentée. Selon les explications de chef Lalaina, tous les produits de base à utiliser seront fournis sur place. «Il n’y aura pas de nourritures que nous allons apporter. Par contre, nous y allons avec quelques décorations », a-t-il expliqué. Après ce concours, l’équipe malgache participera également au mondial de la pâtisserie et au Bocuse d’or.

Mahefa Rakotomalala

SIRHA 2015 : Madagascar participe au plus grand concours mondial d’art culinaire

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SIRHA 2015 : Madagascar participe au plus grand concours mondial d’art culinaire

(09-01-2015)

La délégation malgache qui va disputer l’International Catering Cup 2015 à Lyon France a pris son vol hier soir. Avec le savoir-faire et le décor évoquant l’identité malagasy, le chef Hery Lalaina Ravelomanana et son équipe vont affronter des représentants de 12 pays sélectionnés dans les quatre coins de la planète.-

SIRHA 2015 : Madagascar participe au plus grand concours mondial d’art culinaire

© Midi Madagasikara

Il s’agit d’une première participation pour Madagascar, mais nos représentants sont confiants quant à leur performance. En effet, l’International Catering Cup 2015 est un concours organisé dans le cadre du Salon mondial de l’hôtellerie et de la restauration (SIRHA), qui se tiendra du 24 au 28 janvier prochain à Lyon. Avec la participation de 10 000 chefs venant de 397 pays et 1250 démonstrations par jour, la manifestation mondiale attendra 200 000 visiteurs par jour. Pour sa première présence, Madagascar participera donc à la « coupe du monde » de traiteur, de pâtisserie et à l’épreuve finale de Bocuse d’or qui permettra de révéler au monde les meilleurs espoirs de l’art culinaire venus du monde entier. La Grande-île sera représentée par le chef d’équipe Hery Lalaina Ravelomanana, sa coéquipière Stéphanie Andriamampandry et son coach Rocco Andriamiarisatra.

Rude préparation. L’équipe malagasy a été sélectionnée, grâce à leurs exploits enregistrés sur le plan international. « 12 Nations dont le Japon, l’Ukraine, Madagascar, l’Italie, la France, les Etats-Unis, le Brésil, le Mexique, Pays-Bas, la Suisse, le Vietnam, et la République Tchèque, ont été sélectionnées pour l’International Catering Cup 2015. Pour les autres pays, les équipes ont eu près d’un an et demi pour se préparer. Pour Madagascar, nous n’avions que trois mois et les coûts de préparation ont atteint des centaines de millions d’Ariary, ce qui ne représente que 1/5 du budget des autres. Mais nous sommes prêts à décrocher la Coupe », a annoncé le chef d’équipe Lalaina R. Cependant, après les mois d’entraînement, l’équipe malgache fera encore d’autres entraînements en France avec les équipements et les produits sur les lieux du concours. « Durant le concours, la première journée comprendra 12 heures de préparation en laboratoire, pour la logistique ; la deuxième journée concernera un travail en direct pendant 2 heures, devant 2500 spectateurs. Il y aura également un montage de buffet et une dégustation. Enfin, au troisième jour sera présenté le buffet, dans une soirée gala », ont indiqué les membres de l’équipe malgache.

Partenariat. Comme à l’accoutumée, Air France est partenaire de ces artistes malgaches qui vont disputer une Coupe internationale en Europe. « Nous sommes ravis d’apporter notre contribution et notre appui à l’équipe Malgache qui va participer à l’International Catering Cup 2015. Cette collaboration ne s’arrêtera pas là, car Air France reste toujours présent pour donner son coup de main dans ce genre d’exploit », a affirmé Frédéric Burban, DG de la compagnie Air France pour Madagascar et les îles de l’Océan Indien. Outre le transport de l’équipe, cette compagnie donne également son appui pour le transport d’équipement et de matériels de décoration indispensables. Bref, la délégation est prête, la diaspora malgache en France promet son soutien et il nous reste à souhaiter bonne chance à nos représentants.

Antsa R.

Poisson au lait de coco

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Poisson au lait de coco

Poisson au lait de coco

Quantités : pour 6 personnes

Ingrédients :

1 kg de poisson frais

2 tomates

3 tiges de coriandre frais

1 citron

1 verre d'eau

2 c. à soupe d'huile de tournesol

1 boîte de lait de coco 25 cl

1 oignon blanc

3 cm de gingembre

2 gousses d'ail

1/4 de c. à café de poudre de curcuma

Sel, poivre

1 piment vert frais

Préparation :

  • Presser le citron, réserver le jus.
  • Laver les poissons à l’eau froide.
  • Mettre les poissons dans un plat creux.Les assaisonner avec du sel, du piment et du jus de citron.
  • Laisser macérer environ 1 heure au réfrigérateur.
  • Couper les tomates en petit dés.
  • Peler et couper les oignons en fines lamelles.
  • Râper le gingembre et les deux gousses d’ail à l’aide.
  • Hacher les 3 tiges de coriandre.
  • Couper l’oignon en fines lamelles.
  • Dans une marmite, mettre l’huile, faire chauffer pendant quelques minutes.
  • Ajouter l’oignon. Faire dorer environ 2 mn, ajouter les tomates, la coriandre, l’ail et le gingembre, sel, poivre et le curcuma.
  • Bien mélanger à l’aide d’une cuillère en bois.
  • Laisser mijoter environ 5 mn.
  • Après 5 minutes de cuisson, ajouter un verre d’eau et le lait de coco, ajouter le lait de coco au fur et à mesure, remuer vivement afin qu'il ne caille pas.
  • Bien mélanger. Laisser cuire environ 4 minutes.
  • Mettre les poissons et laisser mijoter environ 10 minutes.
  • A la fin de la cuisson, arroser avec du jus de citron.

Accompagner le poisson au lait de coco avec du riz blanc.

Le plat préféré des Sakalaves (malgache du nord de Madagascar

Bon appétit !

Recette de Cuisine Artisanale d’Ambanja

Proposée par Madame Madina KARI

Antananarivo : les routes sont dans un état de délabrement avancé

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Antananarivo : les routes sont dans un état de délabrement avancé

(09-01-2015)

Il est impossible ces derniers jours de ne pas remarquer l’état de délabrement des principales routes de la Capitale. Les pluies incessantes qui s’abattent cette semaine sur Antananarivo n’arrangent rien à la situation. Le ton commence à hausser du côté des usagers qui vivent très mal les désagréments causés par ces nids-de-poule.

Antananarivo : les routes sont dans un état de délabrement avancé

Des nids d'autruche resposable des embouteillages monstres à divers endroits dans la Capitale

© Facebook

Analakely, Mahamasina, Ambohimanarina, Antanimena, 67ha, Anosy, Ankadimbahoaka… Les principales routes de la Capitale sont aujourd’hui en très mauvais état. D’énormes trous sont visibles, même de loin, dans les rues. La situation empire de jour en jour depuis les pluies incessantes de ces derniers jours. Des nids d’autruche se forment un peu partout en centre-ville, causant des embouteillages monstres à toute heure de la journée.

Pourtant au mois d’avril dernier, les rues de la Capitale ont fait l’objet d’importants travaux de réparation. Le PDS Ny Hasina Andriamanjato s’est donné comme défi de les réaliser en seulement 4 mois. Et ce fut chose faite. Toutes les routes abîmées dans les 6 arrondissements ont été réparées avec du goudron de 15 cm d’épaisseur. A l’époque, la Commune Urbaine d’Antananarivo a évalué à plus de 35 000 m2 la totalité des nids-de-poule et des nids d’autruche à réparer. Vu l’état délabré des routes, ce chiffre pourrait être revu à la hausse. Le coût des travaux s’élevait à 3 600 000 000Ar. Les travaux ont été confiés à des entreprises locales comme la SMATP.

Antananarivo : les routes sont dans un état de délabrement avancé

Mais au bout de 4 mois après la fin des travaux, la situation est revenue à la case départ. Pire. Ces routes réparées deviennent actuellement un peu trop abîmées. Les usagers commencent à se plaindre et à se poser des questions sur l’absence de travaux de réparation entamés par la Commune Urbaine d’Antananarivo. Malheureusement, ils devront encore prendre leur mal en patience, car elles risquent de ne pas être réparées avant plusieurs mois.

nathalie ramanambe

Cari de langoustes

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Cari de langoustes

Cari de langoustes

Quantités : pour 4 personnes

Ingrédients :

3 langoustes

4 oignons

6 tomates bien mûres

8 gousses d'ail

sel, thym

piment

1 morceau de gingembre

zeste de combava (ou citron vert)

1 dose de safran

Préparation :

  • Préparer les langoustes:
  • Séparer la tête de la queue.
  • Couper les queues dans le sens de la longueur.
  • Enlever la partie crémeuse de la tête.
  • Ecraser légèrement les pattes.
  • Hacher finement les oignons.
  • Pilier les épices: ail, sel, piment, gingembre et combava.
  • Couper les tomates en petits dés.
  • Chauffer l'huile dans une marmite.
  • Faire dorer les oignons avec le thym.
  • Ajouter les épices pilées et le safran. Bien tourner.
  • Ajouter les tomates.
  • Couvrir et laisser cuire 10 minutes.
  • Ajouter les morceaux de langouste, bien mélanger à la sauce.
  • Laisser roussir 10 min.
  • Arroser de 2 verres d'eau.
  • Laisser mijoter 40 minutes sur feu doux.

Ce plat est cuisiné avec un riz noir , ou riz blanc, ou riz sauvage.

On peut, non, on DOIT l'accompagner d'un rougail tomate, et aussi d'un rougail citron.

Alain Brecqueville

Rêver Madagascar

De l’eau potable pour Ankadivory

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De l’eau potable pour Ankadivory

12.01.2015

L’eau potable, pourtant un des éléments vitaux de la vie, demeure un luxe pour de nombreuses populations. L’année dernière, le ministère de l’Eau enregistre un taux d’accès avoisinant les 46%. Ce sont surtout les associations et ONG qui s’activent dans l’adduction d’eau potable, dans les localités lointaines. C’est le cas du village d’Ankadivory, dans la commune rurale d’Am­bohipan­drano, à Arivoni­mamo où l’Adsum Founda­tion et une généreuse famille Murphy, se sont donné les mains pour introduire de l’eau potable au village. L’ONG Madagascar Develop­ment Fund a assuré la mise en œuvre des travaux qui consistent en l’installation d’un système gravitaire, d’un système de captage, d’un réservoir de 12m3 d’eau et de huit bornes fontaines. Un problème de moins pour les villageois comme Randria­naivo.

«Pour la première fois, on a de l’eau potable et non plus de l’eau des rizières qu’on cherche à trente minutes de marche d’ici (de son village), qu’on doit aussi traverser une pente glissante en cette période de pluie. On salue vraiment les donateurs », se réjouit le père de famille.

Maminirina Rado


Crabe en salade malgache

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Crabe en salade malgache

Crabe en salade malgache

Quantités : pour 6 personnes

Ingrédients :

250 g de miettes de crabe

200 g de papaye verte râpée

2 citrons jaune

2 mangues

2 avocats

30 g de noisettes non mondées

100 g de tomates cerise

1 bouquet de basilic

10 c. à soupe d’huile de noisette

3 c. à soupe de vinaigre balsamique

Piment en poudre ou gingembre (facultatif)

Préparation :

  • Préparez la papaye verte :
  • Pelez et coupez-la en deux et enlever les graines.
  • A l’aide d’une râpe ou d’un robot, râpez environ 200 g de papaye.
  • Arrosez alors du jus d'1/2 citron, salez et poivrez, réserver au frais.
  • Préparez les avocats :
  • Coupez-les en deux, enlevez le noyau,.
  • Coupez-les en petits dés.
  • Arrosez d’un jus de citron afin qu’ils ne noircissent pas.
  • Salez, poivrez. Réservez au frais.
  • Préparez les mangues :
  • Pelez-les.
  • Prélevez des tranches et coupez-les en petits dés, comme les avocats.
  • Ajoutez l’autre moitié du jus de citron restant, salez, poivrez et réservez au frais.
  • Préparez la sauce
  • Mélangez 10 c. à soupe d’huile de noisettes avec 3 c. à soupe de vinaigre balsamique. Salez, poivrez. Réservez dans un flacon.
  • Hachez grossièrement 20 g de noisettes.
  • 10 mn avant de servir, ciselez la valeur de 4 c. à soupe de basilic.
  • Dressage
  • Placez les cercles d’un diamètre de 7 cm au centre de chaque assiette de service.
  • Commencez par remplir les cercles avec une bonne cuillère à soupe de petits cubes d’avocat et placez-les uniformément au fond du cercle.
  • Continuez par une belle cuillère à soupe de papaye verte, puis couvrez de basilic ciselé.
  • Ajoutez ensuite une belle cuillère à soupe de mangue en cubes.
  • Arrosez alors d’un peu de vinaigrette aux noisettes.
  • Terminer par deux cuillères à soupe de miette de crabe.
  • Poivrez.
  • Saupoudrez de noisettes et versez de nouveau un peu de vinaigrette sur le crabe et autour.
  • Retirez le cercle délicatement.
  • Placez trois moitiés de tomates cerises autour de la salade intercalées avec trois feuilles de basilic. Décorez le dessus de la salade d’une noisette posée sur une feuille de basilic et servez aussitôt.

Alain Brecqueville

Rêver Madagascar

Tamatave, c'était hier... vers 1900

Inondation à Antananarivo: Situation critique

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Inondation à Antananarivo: Situation critique

Lundi, 12 Janvier 2015

Les intempéries de ces derniers jours ont rendu la situation à Antananarivo plutôt critique et l’alerte est passée au rouge dans certaines zones. Le Bureau National de la Gestion des Risques et Catastrophes conseille donc la mise en place d’un comité de vigilance pour les communes bordant les 3 rivières de Sisaony, Ikopa et Imamba afin de prévenir les fokontany concernés à temps avant une éventuelle inondation. La gestion d’un tel risque nécessite le calme et la vigilance de la population, les autorités compétentes ayant déjà pris les mesures nécessaires. Si l’on se fie au rapport hydraulique de la plaine d’Antananarivo d’hier à 15h, pour la rivière d’Ikopa, il n’y a pas d’alerte, le niveau de l’eau a baissé de 0.10 m et tend à la baisse. En ce qui concerne la rivière de Sisaony l’alerte jaune a été lancée car le niveau de la rivière a stagné et si la pluie s’arrête son niveau devra baisser d’ici 12 heures de temps. L’alerte a viré au rouge pour la rivière d’Imamba. La journée d’aujourd’hui sera décisive et notons que le samedi dernier, le nombre de sinistré était déjà à 3.000 pour Antananarivo.

Y.L

La Gazette

Intempéries : Inondation imminente à Antananarivo

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Intempéries : Inondation imminente à Antananarivo

mardi 13 janvier 2015, par Léa Ratsiazo

Intempéries : Inondation imminente à Antananarivo

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Photo archive

Les conséquences de la pluie qui ne cesse de tomber depuis plusieurs semaines sont visibles à Antananarivo. Effondrement de clôtures et de maisons un peu partout, bas-quartiers inaccessibles, un millier de sinistrés la semaine dernière. Mais cela ne pourrait être que rien par rapport à ce qui nous attend dans les jours à venir. D’après le service de météorologique, d’une part la pluie n’est pas prête de s’arrêter et d’autre part deux cyclones rôdent de part et d’autre de la Grande Ile. Depuis le week-end, Antananarivo est classée zone rouge pour l’inondation. Les trois principales rivières, Ikopa, Sisaony et Imamba, qui passent par la capitale atteignent leur niveau d’alerte à l’inondation. Le BNGRC, bureau national de gestion des catastrophes naturelles, est sur le qui vive. Quasiment tous les bas quartiers de la capitale sont sous l’eau ; Anosibe et Andavamamba sont complètement inondés

Intempéries : Inondation imminente à Antananarivo

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Photo archive

Or, la plupart des habitants de ces quartiers déjà inondés refusent de quitter leurs maisons. D’une part, ils ne savent où aller et d’autre part, ils veulent protéger le peu qu’ils ont. Ceci tout en constatant que les eaux sales stagnantes dans leurs maisons nuisent gravement à leur santé surtout pour les enfants.

Pour le moment, aucune autorité à l’exception de la ministre de la Population ne s’est donnée la peine de s’enquérir de leurs problèmes, toutes occupées qu’elles sont aux festivités de Nouvel An. Mais dans les prochains jours, si les pluies ne cessent pas, il va falloir leur trouver des lieux d’abri. Il est sûr que les autorités vont encore tendre la main vers les partenaires techniques et financiers pour venir en aide aux futurs sinistrés. D’ores et déjà, des établissements scolaires servent de site d’hébergement des sinistrés.

www.madagasar-tribune.com

Aiaz Ismaël : « Mister Globe 2015 » est Malgache !

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Aiaz Ismaël : « Mister Globe 2015 » est Malgache !

(12-01-2015)

Un nom qui ne sonne pas du tout malgache. Un visage qui avoisine plus celui d’un grec ou d’un arabe qu’un malgache. C’est pourtant bel et bien un enfant du pays et il s’est vu consacrer le titre de « Mister Globe 2015 ».

Aiaz Ismaël : « Mister Globe 2015 » est Malgache !

Aiaz Ismaël, le nouveau « Mister Globe ».

© www.misterglobe.tv

Mister Madagascar en France l’année dernière, Mister Globe aujourd’hui ! Aiaz Ismaël vient de s’illustrer au concours de beauté mettant en compétition plusieurs jeunes hommes issus de différents pays. Il devient donc « Mister Globe 2015 ».

Grand et sculptural avec un sourire ravageur, il n’a rien de malgache, du moins, en apparence et …en nom. Ce jeune homme qui fait tourner la tête de la gent féminine est pourtant bel et bien un enfant du pays. « Je suis né à Toliara en 1987 ».

Parce qu’il maîtrise le français, l’anglais et l’hindi, certains pensent qu’il ne parle pas malgache. C’est pourtant le cas. En effet, ce passionné de musculation et de boxe a passé son enfance au pays. D’ailleurs, il n’a quitté la Grande Ile qu’en 2010 pour s’installer à Montpellier. S’étant essayé au mannequinat quand il était encore à Madagascar, Aiaz, quatre ans après son arrivée en France tente l’aventure dans Mister Madagascar en France. Un essai fructueux, puisqu’il se hisse à la première place. Une année plus tard, il décide d’aller encore plus loin et s’inscrit à Mister Globe. « Je suis fier de mon origine, de mon pays. C’est la raison pour laquelle j’ai défendu les couleurs malgaches. Je voulais représenter la Grande Ile à l’international ». Pour Aiaz Ismaël, le rêve devient aujourd’hui réalité et il pourrait porter encore plus haut le flambeau malgache.

Mahetsaka

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